Gwendalavir
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Un forum RPG sur les trois trilogies Alaviriennes de Pierre Bottero sur lequel vous pourrez aussi les commenter.
 
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 L'épée des rois (titre provisoir)

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Myrddin Avalon

Myrddin Avalon


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MessageSujet: L'épée des rois (titre provisoir)   L'épée des rois (titre provisoir) EmptyLun 5 Jan - 12:55

Voilà une petite histoire que j'ai commencer. Si sa vous semble un peut confut, c'est normal au début. La situation s'éclaicit un peut plus tard.


Prologue

Les quelques homme qu’Aldar avait rassemblé autour de lui entraient prudemment dans la ruine.
Aldar était un mercenaire depuis qu’il était tout jeune. Il avait longtemps vécut à la pointe de son épée et parfois même, il c’était vendu comme assassin. Toujours pour de l’argent. Il aurait tué les membres de sa propre famille si on y avait mit le prix.
Mais le coup qu’il allait réaliser aujourd’hui les dépassait tous.
Il était parvenu à ‘‘négocier’’ avec une sorte de marchant un peut étrange la vente d’un parchemin rédiger dans une langue que plus personne ne parlait à présent.
Se qui n’avait été qu’un simple gout de l’intrigue avait rapidement tourné à l’obsession quand il avait comprit de quoi il s’agissait en vérité.
Une série d’instruction.
En tout cas, c’était se qu’affirmait le mage qui avait lancé le sort traducteur.
Cette série d’instruction avait pour but de mener à un trésor. Un trésor si grand qu’il lui faudrait mille vies pour le dépenser dans son intégralité.
Seul hic, ce trésor se trouvait dans les terres de l’est.
Un endroit sauvage et sans lois depuis la Grande Guerre et la chute des Seigneurs Liches.
Aldar avait alors rassemblé autour de lui tout une équipe destiné à l’aider à trouver le trésor. Tout s’eux qui survivrait aurait droit à des parts non négligeable. Pour se qui était de transporter le trésor, Aldar ne se faisait pas de souccit pour se qui était du transport de sa part du trésor. Il n’avait pas l’intention de rentrer, mais allait engager des mercenaires de son espèce et se tailler un royaume de bonne taille dans les terres de l’est. Personne ne viendrait y discuter sa suprématie et il pourrait vivre en roi.
Toutes les indications les avaient menées dans les ruines d’un château.
-C’était un repère d’un des Seigneurs Liches, déclara Elmia.
La magicienne voyait toujours très juste et elle leur avait évité le désastre à une ou deux reprises.
-Sa change quoi ? Les Seigneurs Liches ont été mit en pièce voilà presque cinq cents ans.
Elmia haussa les épaules et ils continuèrent à progresser dans les ruines de l’ancien château.
Les pierres noire, usée par le temps étaient recouvert de mousse. Pourtant, elle dégageait une impression oppressante.
-J’ai trouvé la salle principale. Ou se qu’il en reste, déclara Scalar.
Tous accoururent.
Au départ de l’aventure, ils étaient douze. A présent, il n’était plus que cinq. Tous les autres étaient mort en route. Il y avait Elmia, une magicienne. Scalar, un guerrier venu des Terre Gelée bien plus au nord et contre qui il ne valait mieux pas se trouver quand il sortait sa brosse hache de bataille. Eldoras, une sorte de vagabond, un peut voleur et au talent d’archer indéniable. Ensuite Grolorg, un nain un peut grognon qui n’avait pas beaucoup desserré les dents de tout le voyage. Et puis Aldar.
-Enfin, on va pouvoir devenir riche, s’exclama Eldoras.
Aussi rapidement que possible, ils se mirent à fouiller et à tâtonner le mur donnant sur le sud. Là ou le parchemin indiquait que se trouvait le passage secret qui devait donner sur la chambre au trésor. Le passage secret ne tarda pas à être découvert.

* * *

A la lueur des torches, le spectacle qui s’offrit à la petite troupe d’aventurier les sidéra.
De l’or. De véritables montagnes d’or et de pierres précieuses, de bijou, d’objets divers en métaux précieux. Des armes et des armures d’une facture incroyable. Digne d’un roi.
La chambre au trésor ne semblait pas avoir d’extrémité. Pourtant, toutes les allées aménager entre les grands tas de trésor convergeaient vers une sorte de grand coffre de pierre noire couvert de rune d’or.
-Je n’aime pas cet endroit, affirma Elmia. Je n’aime pas cet endroit du tout.
-C’est bon, calme toi. On à bien gagner cet or après tout, fit Eldoras.
-C’est pas ça qui me dérange moi. Se sont les Seigneurs Si…
-Ils ont disparut tes Seigneurs Liche. S’ils ont existé un jour, c’est plus que des légendes pour faire peur aux gamins.
Elmia se renfrogna et murmura quelques mots que personne ne put entendre.
Aldar s’approcha du gros coffre de pierre noire.
-Grolorg c’est quoi cette pierre ?
Le nain s’approcha en ronchonnant et toucha la pierre. La barbe rousse du nain frémit un moment.
-Honnêtement, je n’en sais rien. J’ai jamais fut ça. Tout se que je peux dire, c’est que c’est lourd. Très très lourd.
Aldar réfléchit quelques secondes. Ceux qui avaient construit cette chambre forte devaient très certainement avoir placé leur plus précieux trésor dans l’endroit le plus sur de toute cette chambre.
En tout cas, c’est se que lui aurait fait sans la moindre hésitation.
-Gorlorg, fait moi sauter le couvercle de ce truc qu’on voit un peut se qu’il y a dedans.
-Avec plaisir, fit le nain en empoignant son marteau de guerre.
Elmia qui observait les murs poussa un cri.
-Arrêtez, ne faites pas ça.
Trop tard. Le marteau de guerre envoyait voler la pierre noire du couvercle.
-Qu’est-ce qui t’arrive encore, demanda Scalar qui n’avait jamais vraiment apprécié la jeune magicienne.
Eldoras se pencha au dessus du coffre. En fait, se n’était pas un coffre. C’était un sarcophage de pierre. L’homme qui y reposait devait avoir été le maître des lieux. Il s’agissait d’un homme enterrer en armure, une grande couronne sur la tête, une mais serrant une magnifique épée d’argent, l’autre serrer sur un bouclier.
-Vous êtes digue. Je vous avais dit que…
Elle ne fini pas sa phrase.
Eldoras disparut dans le sarcophage en poussant un hurlement de terreur. Tout s’arrêta dans un monstrueux gargouillis d’agonie.
La tête d’Eldoras jahit du sarcophage.
-Se n’était pas un simple humain qui régnait ici, fit Elmia en reculant petit à petit.
-Alors qui ?
Il y eu un raclement d’os.
Plusieurs phalanges d’une main de squelette s’appuyèrent au bord de la tombe.
-Nécratim. Le roi des Liches, fit une voie d’outre tombe.
L’homme en armure se hissa hors de son tombeau.
Ses orbites vides fixèrent les aventuriers qui lui faisaient face.
Scalar tira sa hache et se rua sur le mort vivant.
Il avait agit trop tard et beaucoup trop lentement.
La main osseuse de Nécratim se referma sur son coup.
-Quel force. C’est intéressant, ricana la Liche.
Nécratim resserra un peut plus ses doigts. Il y eu un craquement sinistre et la Liche laissa tomber à terre le corps du barbare, la nuque brisé.
-Au suivant, rit le roi mort.
Gorlorg tenta sa chance, mais ne fut pas plus chanceux que Scalar. L’épée d’argent de Nécratim s’enfonça entre ses côtes.
Pendant ce temps, Aldar avait entrainé Elmia à l’extérieur.
-On fait quoi maintenant, demanda-t-il une foi sortit du souterrain.
Le rire de Nécratim se fit entendre de la salle au trésor.
L’instant suivant, la Liche était derrière eux.
-Maintenant, vous allez mourir.
Réagissant au quart de tour, Elmia lança sa volonté sur la Liche et fit un grand geste du bras.
Du bout de son bâton naquit un grand serpent de flamme.
-Une vraie magicienne. C’est intéressant.
Lui ne fit pas un mouvement. Le serpent se contorsionna et mourut.
Dans la seconde suivante, Elmia gisait à terre alors que son sang désertait tout son visage, emportant avec lui la vie.
Aldar se retrouva seul. Désespérément seul.
Tous ses amis étaient morts. Lui n’était pas un magicien ni un dieu. Il présentait déjà l’issue de son combat contre Nécratim. Il tira pourtant son épée.
Nécratim eu un grand éclat de rire.
-Tu peux toujours essayer. Sache pourtant qu’il n’existe qu’une seule arme qui puisse me faire du mal. Croit moi, se n’est pas ton épée.
Aldar se jeta à l’assaut. Il n’avait plus rien à perdre. De toute façon, Nécratim le tuerait s’il laissait tomber son épée. Il n’avait plus la moindre échappatoire.
Le combat ne dura pas longtemps. Pour parfaite qu’est été le style d’attaque de la Liche, sa défense était très loin d’être aussi efficace.
Aldar trouva la faille qu’il cherchait et décapita Nécratim.
Le rire ne s’arrêta pas pour autant.
-Très bien, ricana la tête décapitée.
Complètement abasourdit, Aldar ne fit pas arriver l’épée qui le transperça de part en part.
Le corps de squelette alla récupérer sa tête. Il la remit sur ses épaules avant de commencer son travail. Il avait une vengeance à accomplir et la Vie à détruire.
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Myrddin Avalon

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MessageSujet: Re: L'épée des rois (titre provisoir)   L'épée des rois (titre provisoir) EmptyLun 5 Jan - 12:55

Chapitre I

Balardax chevauchait à bride abattue vers le sud.
Le capitaine de la garde royale n’avait jamais vu une pareille histoire. Pourtant, il en avait déjà vu des vertes et des pas mure en tant que capitaine de la garde royale. Il avait déjà eu affaire à de nombreuse intrigues politiques. Mais là, c’était pire que tout.
Etre convoquer en pleine nuit dans les appartement du roi pour y trouver le souverain, la princesse Nilaria et un jeune noble en armure. Il devait venir de Florissant au vu de son blason.
-Votre majesté, vous vous sentez mieux ?
La princesse était resté au secret durant presque deux ans, prétextas une forte maladie. Pour sa part, Balardax n’y croyait pas vraiment. Mais il était rester en place parce qu’il avait prit l’habitude de ne pas se mêler des intrigues qui ne le concernait pas directement. Pour le reste, il assurait la sécurité de la famille royale et puis c’était tout.
-Nous avons une mission à vous confier capitaine. Vous êtes sûrement la personne la mieux placer pour la mener à bien, avait déclarer le roi. Il s’agit d’escorter quelqu’un jusqu’au duché d’Argus. Quelqu’un vous attendra dans le village de Narskarta.
Balardax c’était mit au garde à vous.
Les chevaliers de Florissant n’avait certainement pas le moindre besoin d’une escorte puisqu’ils étaient sûrement les meilleurs chevaliers du royaume. Peut être la princesse allait-t-elle vouloir aller aussi au sud. Se n’était sûrement pas l proximité de la forêt d’Eliandre, terre des elfes qui était bien attirante. Et sûrement pas non plus les Montes Gris des nains. Pourquoi pas le roi ? Les nains étaient allier du royaume. Il allait peut être tenter de resserrer les liens entre les deux nations.
C’est juste à ce moment qu’il se rendit conte que Nilaria tenait quelque chose.
Un bébé.
Voilà votre passager, capitaine Balardax, déclara le roi. Vous serez accompagner dans votre périple par le jeune chevalier de Florissant ici présent. Pas de question, personne ne doit être au courant et je conte sur votre discrétion habituel. Je me suis bien fait comprendre ?
-Oui votre majesté.

* * *

-Je ne connaît toujours pas votre nom, fit remarquer Balardax. Voilà deux jours que nous chevauchons ensemble et je ne sais toujours pas comment je peut vous appeler.
Le chevalier lui sourit.
-Vous pouvez m’appeler Adam. Ne comptez par contre pas sur moi pour vous apprendre mon nom.
-Alors Adam, de quoi pouvons nous parler ? Je n’aime pas les voyages trop silencieux et comme je n’est pas l’intention de vous questionner sur l’identité de cette enfant que vous couvrez de tant de soin.
Le voyage se poursuivit sans encombre jusqu’à la mi-journée.
Les choses se compliquèrent très rapidement. C’était à un moment ou le chemin se resserrait sensiblement et était border de hauts buissons.
-On passe au grand gallot. Cet endroit est propice aux embuscades.
Balardax hocha la tête et tout deux lancèrent leurs chevaux.
Arriver à mit chemin, trois flèches sifflèrent et allèrent se planter dans l’épaule d’Adam.
Une dizaines d’hommes sortirent des buissons.
Sans attendre, les deux guerriers dégainèrent leurs épées et chargèrent les bandits. Les deux archers, chacun embusquer d’un coter de la route eurent le temps de décocher quelques flèches. L’une d’elle ouvrit la gorge du cheval d’Adam.
Balardax fit faire volte face à sa monture.
Déjà Adam c’était relever.
Son épée dans une main, l’enfant dans l’autres, il moulinait avec son épée pour tailler sa route. Quand Balardax fonça sur lui, l’épée haute les bandits refluèrent un moment.
-Toi, accomplit ta mission, ordonna Adam. Tu vas le mettre à l’abris à Naskarta.
Il lui mit de force l’enfant dans les bras. Le petit c’était réveiller et c’était mit à hurler.
-Mon seigneur…
-Il me semble que je t’es donner un ordre, fit Adam d’un ton sec.
Déjà quelques bandits revenait à la charge.
Adam fit volte face et leva son épée.
Balardax était presque sortit du sentier quand il entendit se qui fini de l’étonner.
-CendreCoeur, CendreLame, CendreNeige.
Le cri de guerre des Snowheart.

* * *

Balardax arrivait au pied de la petite palissade de bois qui entourait Naskarta.
La petite ville avait souvent à se défendre contre les attaques des orcs. Aussi, les habitants c’étaient-ils fortifier et avaient former un petite milice pour repousser au mieux les raids.
-Qui êtes vous, interrogea un jeune soldat du haut de la porte ?
-Balardax, capitaine de la garde royale en mission pour le roi Nathaniel III, déclara-t-il.
Le jeune homme sembla être impressionner et surtout ne semblait pas savoir se qu’il devait faire. Un homme arriva à son secourt.
-Je vous attendait capitaine. Tu peut ouvrir la porte Dan.
Le jeune homme hocha la tête et alla actionner le mécanisme de la porte.
Décidément, la situation était étrange. C’était sûrement l’histoire la plus étrange à la quel Balardax avait été confronté.
Un enfant nouveau né, un Snowheart, le roi, la princesse et ce type. Mais comment avait-il pu manquer un truc pareil.

* * *

Le vent c’était lever et balaillait la plaine rase. L’hiver commençait à resserrer son étreinte sur les provinces du nord et les premières traces de givre blanchissaient l’herbe. Bientôt la neige boucherait complètement les cols du nord et les chaotiques des Terres Gelée devrait suspendre pour un temps leurs incursions dans l’empire. Au moins le temps que les neiges ne fondent.
Une trêve hivernale plus que bien venue.
Bernard Snowheart observait ce paysage depuis une colline qui lui donnait une vue légèrement sir élevé. Il aurait ainsi tout le loisir de pouvoir coordonner ses troupes durant la bataille.
On était loin de l’affrontement qui avait eu lieu au court du troisième jour qui avait suivit le solstice d’été. A ce moment, les chaotiques c’étaient complètement déchainer. Dix milles hommes avaient passé la frontière et ravager le nord du royaume pendant plusieurs semaines. Puis, Bernard était partit les arrêter à la tête d’une grande armée.
Beaucoup de monde était mort ce jour là. Des chevaliers fauchés dans leur charge par de meurtrières salves de flèches. Des hommes embrochés sur les longues piques des soldats comme de vulgaire proie de gibier. Le combat avait été un véritable charnier et beaucoup était mort des deux cotés.
Aujourd’hui, cela allait être différent.
Les nordiques commenssait à approcher. Ils étaient nombreux. Beaucoup plus nombreux que les soldats. Mais cela n’avait pas vraiment d’importance.
Bernard avait réservé à ses ennemis une petite surprise qui ne manquerait pas de leur déplaire affreusement.
Dans le bois qui bordait le vallon était poster une cinquantaine de lancier et autant de cavaliers. Les nordiques allaient se retrouver coincer entre la rivière qui coulait à l’est et qu’ils utilisait comme une force pour empêcher toute attaque venant de cet endroit, le bois à l’ouest, les cavaliers que Bernard avaient poster dans le bois et qui allaient prendre l’ennemis à revers par le nord et l’armée de Bernard au sud.
Leur seule chance de replis était la rivière. Mais il faudrait traverser les eaux glacées à la nage.
Bernard soupira.
Tout cela ne l’amusait plus. Quand il était plus jeune, il avait accueillit sa charge de Champion d’Epée avec une grande joie. Cette position de chef suprême des armées royale signifiait pour lui des combats à rythme rapide et la possibilité de monter rapidement dans l’estime royale. L’objectif avait été rapidement atteint. Il faisait à présent partit des rares chevaliers du Cygne.
Mais maintenant qu’il se faisait plus vieux, repousser les barbares chaotiques au nord, les orcs des Monts Noir et les pirates de la Mer d’Or à l’ouest lui plaisait de moins en moins. Il aurait tout donné pour pouvoir mettre son épée au fourreau une bonne foi pour toute.
A presque soixante ans, il était très certainement le plus vieux Champion d’Epée de l’histoire du royaume. Il avait son duché de Florissant qu’il voulait administrer et par-dessus tout, il y avait ce petit fils qui avait grandit loin de tout pour échapper à toute les intrigues politiques et qu’il rêvait de voir. L’unique héritier de la longue lignée des ducs de Florissant que son fils Adam avait eu avec une femme dont il n’avait jamais rien voulut dire.
-Monseigneur, nous sommes prêt, déclara Assim.
Assim était un homme qui venait du grand désert du sud. Il était né dans le Sultanat de Kaliorn. Il était arrivé voilà une bonne vingtaine d’année en tant qu’esclave. Il avait gravit tout les échelons du royaume pour finir aujourd’hui par être Chevalier de la Lance. Bernard et lui était ami de longue date et ils c’était toujours très bien entendu. C’était Assim qui avait proposé l’idée d’éloigner le petit Nicolaï de la cour ducale.
Un long son rauque retentit dans la plaine. Les nordiques poussèrent de grand cri, frappant leurs armes sur leur bouclier rond.
Les hommes barbu et vêtu de fourrures allaient charger.
Bernard lissa une dernière foi sa moustache d’un blanc aussi parfait que ses cheveux.
-Donne le signal, ordonna-t-il.
Assim attrapa le cor d’argent qui pendait à la selle de son cheval et souffla dedans de toutes ses forces. Un son presque cristallin s’échappa de l’instrument.
Les soldats abaissaient leurs longues lances et les archers encochaient leurs premières flèches.
Les meilleurs auraient le temps d’en décocher quatre. Peut être cinq. Les moins bon pas plus de deux.
Les nordiques se ruaient en avant en poussant de grands cris de guerre, invoquant leurs dieux sanguinaires et barbare.
Au moment convenu, Assim souffla une seconde fois dans le cor d’argent. Les soldats dissimuler dans la bois se révélèrent chargèrent. Les cavaliers prirent les nordiques à revers comme prévu.
Comprenant le piège dans lequel ils étaient tombé, les chaotiques firent tout se qu’ils pouvaient pour tenter de redresser la situation.
Malgré leur nombre, une heure plus tard, les survivants tentait s’échapper par la nage ou bien étaient capturer. Pour le reste, le sang des chaotiques imbibait désormais le sol et faisait fondre le peut de givre qui blanchissait l’herbe.
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MessageSujet: Re: L'épée des rois (titre provisoir)   L'épée des rois (titre provisoir) EmptyLun 5 Jan - 12:57

* * *

Une pluie battante s’abattait sur les hauts mur du château battit au milieu d’un grand piton rocheux d’une falaise, la forteresse n’était reliée à la terre ferme que par un pont unique, mais suffisamment large pour que trente personnes est pus y avancer de front sans risquer de tomber. En dessous de ce pont, l’eau tumultueuse de la Mer d’Or.
Les tours de la forteresse se dressait vers le ciel, comme un défi lancer à la tempête et aux éclairs. Bien plus haut, que la plus haute des tours se dressait le sommet de ce piton de pierre blanche où ceux qui avaient battit ce château avait placer un poste d’observation pour surveiller aussi bien le mer que le domaine.
Elle était le seul bastion que les hommes du sud. Ceux du Royaume du Dragon avaient installer dans les Terres Gelée. Cet forteresse était censer être la tête de pont à une future conquête des terres du nord. Taringael avait fait partit des plus puissantes place forte et du Royaume.
Mais le temps de sa grandeur était révolu depuis bien longtemps.
Voilà bien longtemps que tout les serviteurs et tout les soldats avaient déserter les murailles et les tours de la forteresse. Les statues des glorieux fondateurs de cette seigneurie était en partie détruite et le mobilier tombait en ruine faute de serviteurs pour l’entretenir comme il se devait.
Pourtant, aucun chef de tribu des Terres Gelée ne se serait risquer à attaquer la forteresse ni à tenter de s’en emparer.
On la disait maudite et depuis quelques année, on racontait qu’un sombre seigneur était revenu pour en réclamer la possetion. Du bois c’était remis à brûler dans les grande cheminée de Tarintagael.
C’est dans ce lieu sinistre que Frolle pénétra à la tête de sa colonne de guerriers.
Ce fier chef de tribu se considérait sans la moindre prétention comme le plus grand guerrier de toute les Terres Gelées du sud et il avait bien l’intention de conquérir tout cet immense territoire. Il avait déjà soumis deux clan de guerriers et avait rassembler une armée puissante. Lui même était à l’image de cette terre qu’il avait l’intention de conquérir. Fort, rude. Un colosse et une véritable montagne de muscles.
Quel n’avait pas été sa surprise lorsqu’un homme en armure rouge, monté sur une monture digne d’un cauchemar, c’était présenter à sa porte. Il était casqué. Son protège nez et ses protège joues avait empêcher de voir son visage.
L’homme l’avait inviter à se rendre à Tarintagael le lendemain, uniquement accompagner de sa garde personnel. Il lui avait promis qu’il en retirerait une grande puissance.
Sa pouvait être intéressant.
Il fut surprit de se rendre compte qu’il n’était pas le seul chef de clan à être présent. Plusieurs avaient fait le déplacement. Tous s’ignoraient avec brio. Une foi arriver devant la porte de la citadelle, les choses aurait pus rapidement dégénérer sur la question de qui entrerait avec sa garde en premier, si quatre hommes en armure rouge n’était pas sortit.
Identiques en tout point à celui qui était venu porter le message.
-Chef de clan, laissez ici vos troupes et venez avec nous, ordonna l’un d’eux.
-Pourquoi devrions nous vous suivre, interrogea un des chefs ?
L’individu se contenta de le fixer et de serrer son épée. Il dégageait une telle impression de force et de dangerosité que plus personne ne voulut discuter. Tous ayant l’impression diffuse que ces quatre hommes à eux seuls étaient en mesure de les tuer. Avec leur garde en prime.
Ils suivirent les chevaliers rouges à travers les ruines du château. Frolle observait les fortification. Il n’avait pas peur des esprits et des malédictions. Quel somptueuse demeure cela ferait pour lui et son clan. Bien meilleure que les huttes qu’ils occupaient pour l’instant.
Les chevaliers rentrèrent dans une vaste salle et allèrent se poster face à l’entré. Devant eux se trouvait un trône de pierre sur lequel était assis non chalament une jeune femme. Elle toisa les chefs de clan du haut de la petite volée de marche qui la séparait à présent des quelques hommes. Elle possédait de long cheveux noir qui devait très certainement descendre jusqu’à la naissance de ses hanches. Ses yeux en amande d’un vert de prairie étaient fixer sur les chefs de clans, mais elle ne semblait pas vraiment les voir.
Arrivant par l’une des fenêtres de la salle, un corbeau alla se poser sur l’accoudoir du trône et poussa un coassement rauque. Elle tourna les yeux verts lui.
-Je sais Mordred. Je les est vu, dit-elle. Crois tu que sa marcheras ?
Le corbeau poussa un nouveau cri.
-Je pense comme toi.
Elle se leva avec dans un mouvement plein de grâce. Sa robe sombre au bord broder de fils d’or représentant un complexe enchevêtrement de runes était ouverte sur le coter, dévoilant une des jambes de la jeune femme.
Frolle se sentit soudain plus intéressé par cette jeune femme que par ce qu’elle voulait sûrement leur dire.
-Si je vous est fait venir ici, chef de clan, c’est pour que vous me prêtiez allégeance et que vos armée tombent à l’instant sous mon commandement.
Plusieurs chefs se mirent à rire.
-C’est la meilleure, s’exclama l’un d’eux. Regardez là. A peine femme et elle s’imagine pouvoir nous imposer sa volonté. Ta place est à la maison à t’occuper des esclaves. Où est ton mari que nous puissions au moins parler avec notre égal.
-Et qu’est-ce qui te fait croire que nous allons te céder nos clan, cria un autre ?
La jeune femme encaissa plusieurs autres remarques de ce type sans montrer le moindre signe d’énervement. Frolle pour sa part était rester stoïque. Il savait suffisamment bien reconnaître un chef quand il en voyait un.
-Parfait. Je pense que si je prouve ma valeur vous m’accepterez peut être en tant que chef.
Les chefs de clan s’arrêtèrent.
-J’en est assez, tonna un des chefs. Cette gamine ne nous fera pas perdre plus longtemps notre temps, s’écria un véritable colosse.
Il attrapa une formidable ache qui pendait à sa ceinture et courut pour parcourir la distance qui le séparait de la jeune femme.
Tenta serait un thermes plus approprier.
A mi-distance, la jeune femme leva une main et le guerrier s’arrêta net.
Le corbeau émit une série de son qui ressemblait trop à des rires au goût de Frolle.
-C’est dommage. Vous m’aviez l’air d’être quelqu’un de solide.
Elle se rapprocha un peut du guerrier et pointa un doigt en direction de son front. Ses lèvre bougèrent légèrement sans que nul ne soit en mesure d’entendre se qu’elle disait.
Le guerrier s’effondra.
Mort.
-Voulez vous que nous continuons notre petite discussion ? Faut-il que je vous tue tous avant de pouvoir prendre la tête de vos clan ?
Les chefs posèrent un genou à terre. Ils n’étaient pas érudit, mais ils étaient suffisamment intelligent pour savoir qu’ils n’avaient aucune chance avec la magie.
-Comment doit on vous appeler majesté, interrogea Frolle ?
La jeune femme darda sur lui ses yeux d’un vert incroyable. Le titre de majesté lui convenait déjà parfaitement.
-Mon nom est Lamentia.
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